Top articles
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DLXII.
Si F*** est un garçon charmant, il ne communique pas. Certes, peut vous entretenir de mille choses, des classiques latins (où il excelle) ou de la pêche à la ligne (sport qui en vaut d’autres) mais ça s’arrête là. Pour le reste, pas un mot. Enfin, guère....
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DLIX.
Une aimable lectrice (et attentive flatteuse) m’informe que le portail de la rampe cauchoise (voir notre édition du 2 avril comme disent les journaux) était celui de l’ancienne faculté de droit. La précision m’a remis sur le chemin d’une autre mémoire...
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DLXIII.
Remontant la rue de l’Hôpital, où j’ai tant de souvenirs. Mais, au fait, la remonte-t-on ? Oui, partant de l’Hôtel de Ville. Maison par maison, porche par porche. Si ma mémoire est bonne. Pourtant ce jour, j’ai quelque difficulté, à retrouver ce lieu...
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DXXXVI.
Il y a une bonne vingtaine d’années, je descendais cinq jours sur sept la rue de la Champmeslé. A mi-hauteur, sur la gauche, ouvrait (à peine, vu l’heure) un dépôt de boulangerie : Croissant 2000. Je m’y arrêtais parce qu’il s’y faisait une spécialité...
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DXXXI.
Il m’arrive, tard le soir, rentrant d’une invitation quelconque (d’une quelconque invitation ?) de passer place de l’Hôtel de Ville. Il faut bien rentrer chez soi. Empruntant (terme admis) la rue de l’Hopital, on se doit de passer entre ce qui fut La...
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DXXXII.
Dans une précédente chronique, je m’essayais à causer politique. Voulant parler (ou écrire) net, j’y allais d’un mot méchant (mais véridique) sur l’un des candidats aux municipales. Il s’agissait de Patrick Chabert, centriste de substitution. Voulant...
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DXXX.
Je n’en gagne pas. Mon étourderie me joue de ces tours ! Numéros de téléphone, visages, souvenirs, tout passe par-dessus bord. Et que dire de l’orthographe ! Par bonheur, certains lecteurs me signalent les fautes les plus criantes. Ils ne se doutent pas...
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DXXXIX.
Dans le rôle du commentateur politique, je ne suis pas de première force. Trop la routine. Ainsi, pour les municipales, j’étais persuadé que les Communistes d’ici s’accommoderaient aux Socialistes d’itou. Non, raté, changement dans la distribution des...
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DXXXV.
Les médecins me pressent. Tous bien trop jeunes, les voilà après moi. Le grand âge me venant, ils s’entendent pour me cerner. S’y mettent à plusieurs, se renvoient la balle. D’une analyse l’autre. Les chiffres ne sont pas bons. A qui le disent-ils ! A...
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DXXVIII.
On peut s’en amuser. En la matière, trop de sérieux nuit. N’empêche, de temps à autre, il faut s’y pencher. Se dire que, oui, tout de même. Ah j’oubliais : il s’agit des futures municipales. Même si l’on sait que toutes les listes ne sont pas déposées,...
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DXXXIV.
Pourquoi de tels souvenirs collent-ils à la peau ? Ainsi, j’ai celui d’un dîner au restaurant Le Damiette. Rue du même nom, début de rue, sur la gauche, à partir de la place du Lieutenant-Aubert. Un long couloir en style pseudo-normand. Nappes à carreaux,...
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DXV.
La chose se passe non loin d’ici, à Franqueville-Saint-Pierre pour être exact. On y a construit un lotissement. Une fois de plus : quand le bâtiment va, tout va. La raison fait qu’aux constructions, il faut des chemins. On nomme les premières maisons,...
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DXII.
Connaissez-vous Steven Cohen ? Moi non plus. L’autre soir, j’écoutais d’une oreille distraite une radio culturelle où il était interviewé. Ceci cela, patati patata. L’homme, jeune, à la voix désagréable, a un fort accent. Il est, parait-il, performeur....
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DIX.
Beaucoup par lassitude, un peu par paresse, je ne me suis pas étendu sur Rouen Impressionnée. Commenter cette exposition sensée initier les Rouennais à l’art contemporain ? Tout chroniqueur kamikaze qu’on soit, il est toujours risqué de dauber sur les...
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Sans titre
Fermeture temporaire de ce blog pour cause d'hospitalisation.
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DCXVII.
Ici s'arrête Rouen Chronicle, rubrique commencée en 2008 et dont Félix Phellion était l'unique auteur. Celui-ci repose désormais quelque part, entouré de livres et de dossiers. Sans doute, y cultive-t-il son goût pour l'inachevé, le ressentiment et le...